La QVCT, c’est un vaste sujet : rendre meilleures les conditions de travail en conciliant la performance globale des entreprises. C’est ainsi que la QVCT a été définie par l’ANACT[1] en 2013.
Il s’agit donc que les salarié.es puissent s’exprimer, agir sur le contenu de leur travail. Toute la difficulté de traiter cette question réside dans la multitude de domaines concernés par la qualité de la vie professionnelle.
Pour y voir plus clair, observons une jolie marguerite qui a poussé au milieu du champ du travail acharné, manquant de sens et bafouant les épanouissements individuels :
[1] ANACT : Agence Nationale pour l’Amélioration des Conditions de Travail. (ARACT : Agence Régionale…)
Il s’agit de soigner la communication interne, d’organiser et de diffuser des informations sous la forme d’évènements ou autre, de ne pas négliger les temps et espaces de pause. Si l’on résume, même au travail, il est question d’humanité.
Les tâches sont réalisables lorsqu’elles sont clairement énoncées. Les salarié.es se sentent bien au travail lorsqu’ils peuvent être autonomes et qu’ils ont les moyens pour travailler en faisant sens. La charge de travail est répartie de manière juste et explicite.
Comment travailler si l’on est en souffrance, physique ou morale ? Il faut mettre des plans d’actions en œuvre, diffuser le DUERP[1], prendre en compte les besoins spécifiques des salarié.es, aménager les espaces de travail ainsi que les postes.
[1] DUERP : Document Unique d’Évaluation des Risques Professionnels
Se former pour apprendre encore et toujours, c’est la clé pour trouver du sens au travail. Mais il faut aussi savoir adapter les compétences aux personnes ou inversement. C’est en pratiquant les entretiens individuels construits et pensés que l’on trouve motivation et bien-être au travail.
Il s’agit de tenir compte de la vie privée et de l’articuler consciemment à la vie professionnelle. Un point de vigilance essentiel également : l’équité dans les traitements des salarié.es et l’égalité professionnelle hommes-femmes. Les situations de handicap doivent être prises en compte réellement pour davantage d’inclusion et de diversité dans le monde de l’entreprise.
Nous pouvons parler du travail, ce n’est pas un sujet tabou. En communiquant, on peut organiser l’absence des salarié.es, participer aux projets de changement, se tromper, se corriger, connaître la politique de rémunération pour davantage de justice. Si les rôles sont clairement définis, tout devient possible.
C’est beau n’est-ce pas ?
Non, ce n’est pas une utopie. C’est possible. Mais cela ne se fait pas en un claquement de doigts… Il faut réfléchir, collectivement de préférence, il faut oser, il faut douter et surtout, il faut des outils.
C’est ce que nous vous proposons de vivre le JEUDI 17 NOVEMBRE à SAINT JUNIEN lors de notre journée de séminaire consacrée à la QVCT. Venez découvrir le programme à la rubrique Actualités de notre site internet.
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